Bientôt un an que le quotidien des français n’est plus le même. Contraints de se côtoyer toute la journée, nombre de couples n’ont pas pu résister à l’épreuve du confinement et ont dû se séparer.
L’explosion des cas liés au coronavirus a contraint le gouvernement à imposer des mesures drastiques. Ceci dans le but de contenir la propagation du virus. La vie avait arrêté son cours. Si ces mesures ont permis de baisser la courbe d’évolution du virus, elles ont néanmoins fait exploser le taux de divorces. A la mi-mai, à la sortie du premier confinement strict, le taux de divorces par consentement mutuel a augmenté de 25% en comparaison à la même période en 2019 selon la dépêche.fr. Une hausse qui a été enregistrée par les notaires. Pour les trois premières semaines de juin, la hausse est de 14,1 %. Selon un sondage effectué par l’IFOP en juin 2020, 4% des couples souhaitaient se séparer.
Même s’il est encore tôt de lier cela au confinement, force est de constater que les procédures de divorce ont augmenté dans la période post-confinement. Pour une raison ou pour une autre, nombreux sont les couples qui ont décidé de se séparer après le confinement.
Berlin sur Seine 