La compagnie de Pina Bausch fait son retour à Paris

CC-BY-NC-SA : federiconovarosomeday

Cette année la compagnie revient avec trois pièces dans la capitale française au théâtre du Châtelet et au théâtre de la Ville : Viktor, Agua et Auf dem Gebirge hat man ein Geschrei gehört. Une saison qui s’annonce haute en couleurs !

Auf den Bus warten oder Kunst bewundern? Beides!

Als Christopher Herwig 2002 eine Radtour von London nach Sankt Petersburg startete, wußte er nicht, dass er unterwegs mehr als tausend Bushaltestellen fotografieren würde. Inzwischen ist sein Fotobuch «Soviet Bus Stops», das im September bei FUEL herausgekommen ist, ausverkauft. Aber warum Bushaltestellen?

Mona Hatoum – Le corps à l’œuvre

Le Centre Pompidou rend hommage à la grande artiste d’origine palestinienne

Mona Hatoum au Centre Pompidou (flickr.com/ Jean-Pierre Dalbéra)

La COP21 s’empare de la nuit blanche

À l’entrée de la rue Saint-Martin, au cœur du 4ème arrondissement, une masse d’individus s’agglutine devant l’Église Saint-Merry. «Tu crois qu’on peut rentrer?» «C’est peut-être un concert», s’interrogent quelques passants. Intrigué par des faisceaux de lumière blanche, le flot de curieux s’engouffre finalement à l’intérieur de l’édifice.

„Take me I’m yours“ : On ne touche pas !

Des échos de rires percent le silence du musée. Au 11 Quai de Conti, le visiteur se retrouve dans une drôle de situation : il peut toucher. « Sers-toi ! », « On échange ? », « A toi de jouer ! » sont autant d’incitations surprenantes écrites sur les murs de ce qui est d’ordinaire considéré comme un temple sacré. « Take me I’m yours » est une exposition que l’on doit manger, toucher, modifier.

Take me I’m Yours (Karina Kochan)